L'alimentation végétale contribue à réduire la faim dans le monde et à répartir les ressources de manière plus équitable.
Une récente étude montre que si nous conservons nos habitudes alimentaires actuelles, à commencer par notre consommation de viande, les objectifs climatiques mondiaux resteront inatteignables.
Une initiative vient d'être déposée auprès de la Chancellerie fédérale pour demander exactement ce pourquoi Swissveg travaille depuis près de 30 ans : la promotion d'un mode d'alimentation davantage basé sur les aliments d'origine végétale.
Lors des sessions parlementaires, diverses thématiques sont discutées par le Conseil des États et le Conseil national. Nous vous informons sur les principaux sujets abordés et vous présentons un résumé des résultats. La session de printemps 2023 se déroulera du lundi 27 février au vendredi 17 mars.
En Suisse, la production de porcs excède la demande du marché. Et ce, au détriment du bien-être animal et de la collectivité.
S'il est évident pour la plupart d'entre nous que les cerfs, les chats et les dauphins sont des êtres sensibles dotés d'une conscience, qu'en est-il des fourmis, des abeilles et des grillons ? Et en quoi cela influence-t-il notre comportement à leur égard ?
À Montréal, 193 États se sont mis d'accord sur des objectifs de protection de la biodiversité. Le but premier est qu'au moins 30 % des surfaces terrestres et marines de la planète soient protégées d'ici 2030. Cependant, les avantages d'une alimentation végétale pour la biodiversité n'ont pas été mentionnés.
D'après une récente étude, les consommateur-ice-s de viande coûtent plus à la Confédération et à la collectivité que les personnes véganes.
Lors des sessions parlementaires, diverses thématiques sont discutées par le Conseil des États et le Conseil national. Nous vous informons sur les principaux sujets abordés et vous présentons un résumé des résultats. Le point phare de la session d'hiver 2022 est la future orientation de la politique agricole.
Bien que l'alimentation et l'agriculture aient figuré à l'ordre du jour pour la première fois lors de la COP27, l'impact négatif de l'élevage d'animaux de rente sur le climat n'a guère été abordé.