Étude du «European Journal of Clinical Nutrition»: Conséquences écologiques des modes d'alimentation
2006 a paru dans le journal scientifique «European Journal of Clinical Nutrition» une étude menée sous la direction de Massimo Tettamanti, qui a analysé les conséquences écologiques des différents modes d'alimentation.
Le résultat confirme toutes les études précédentes similaires :
L'alimentation moyenne non équilibrée contenant beaucoup de produits d'origine animale cause les impacts négatifs les plus importants sur l'environnement.
A l'intérieur de la même méthode de production alimentaire (bio ou conventionnelle), un consommation plus importante de produits d'origine animale cause un impact écologique plus important.
A l'intérieur du même mode d'alimentation, la variante préférant les produits biologiques a un moindre impact écologique comparée à celle contenant des produits issus de production conventionnelle.
L'analyse scientifique a considéré entre autres les domaines suivants : Consommation de terres agricoles pour la culture de matières fourragères, consommation de carburants pour la culture et le transport, consommation d'eau, impacts des excréments des animaux sur l'environnement, impacts sur la santé (p.ex. la production d'ozon lors de la production, les résidus de pesticides, etc. ).
Die Ernährungspläne für die verschiedenen Kostformen stellte ein Ernährungswissenschaftler zusammen, um sicher zu gehen, dass alle 3 Ernährungsweisen ausgewogen sind. Zum Vergleich wurde zusätzlich noch die übliche, sehr fleischreiche Ernährung mit einbezogen (als Beispiel wurde die italienische Ernährung verwendet).
Bei der Analyse wurden für jeden negativen Effekt auf die Umwelt Punkte vergeben.
Aus dem Resultat sieht man bereits auf den ersten Blick, dass die übliche fleischreiche Kost mit Abstand die grössten Umweltschäden verursacht: Deren Auswirkungen sind zweieinhalbmal so hoch wie die einer ausgewogenen omnivoren Ernährung (auch mit Fleisch, Eiern und Milchprodukten). Verglichen mit der ausgewogenen omnivoren Ernährung schnitt die vegetarische Ernährung jedoch noch um 35% besser ab und die vegane Ernährung hatte sogar über 60% weniger schädliche Auswirkungen auf die Umwelt.
Bei einem Umstieg von der konventionellen auf die biologische Ernährung konnten die Auswirkungen auf die Umwelt bei der omnivoren Ernährung um über 40% gesenkt werden, bei der vegetarischen und veganen Ernährung um rund 30%.
Un italien moyen passant d'une alimentation habituelle à une alimentation équilibrée biologique et végane peut réduire de près de 90% l'impact écologique de son alimentation.
En résumé, on peut alors dire que : Moins une alimentation contient de produits d'origine animale et le plus de ces produits sont issus d'une production biologique, plus l'alimentation est écologique.
Renato Pichler
Pour consulter l'étude : Evaluating the environmental impact of various dietary patterns combined with different food production systems, European Journal of Clinical Nutrition, 11 oct. 2006.
